Conseils pour favoriser un retour au travail réussi

Faciliter un retour après un arrêt de travail

Dans tout arrêt de travail que ce soit pour cause de maladie, de blessure ou même de maternité, le retour au travail est souvent une étape stressante et difficile autant pour les travailleurs que pour l’employeur. Plusieurs actions peuvent être entreprises pour soutenir les deux parties dans ce processus.

Pour le travailleur :

  • Évaluez avec votre médecin et votre employeur la possibilité de réaliser le retour au travail de façon progressive. Ceci vous permettra de reprendre contact avec votre milieu à votre rythme et favorisera vos chances de succès.
  • Lors de votre retour, respectez vos pauses et votre horaire de travail. On a parfois tendance à vouloir en faire trop mais le fait de respecter votre horaire vous permet non seulement de respecter vos limites actuelles mais également d’adopter de bonnes habitudes pour favoriser le succès à long terme.
  • Effectuez des micropauses dans votre journée de travail (pauses d’environ 15 à 30 secondes toutes les 20 à 30 minutes) afin de favoriser tant votre endurance physique que cognitive sur votre journée de travail. Elles peuvent consister, par exemple, en des étirements ou quelques respirations.
  • Adoptez une routine de vie qui vous convienne et vous satisfait à la maison. Intégrer de bonnes habitudes de vie et des occupations signifiantes pour vous au quotidien augmentera votre satisfaction personnelle et vous soutiendra également dans votre retour.
  • Questionnez-vous sur ce qui serait soutenant pour vous dans votre retour au travail, notez-le et prévoyez une rencontre avec votre supérieur avant le retour au travail afin d’explorer avec lui des possibilités de soutien.
  • Soyez bien entouré. Que ce soit auprès d’un psychologue, ergothérapeute, médecin ou autres professionnels de la santé.
  • Finalement, changez votre vision du processus de retour au travail. Celui-ci n’est pas la finalité mais bien la poursuite de votre réadaptation; une occasion d’aller tester vos nouveaux outils et stratégies et de développer davantage vos capacités fonctionnelles.

Pour les gestionnaires :

  • Gardez une ouverture face aux besoins de votre employé et travaillez avec lui à trouver des solutions qui soient intéressantes pour les deux parties. Prévoyez à cet égard une rencontre préalable au retour au travail afin de bien débuter le processus.
  • Ne vous attendez pas à retrouver un employé à 100% de sa forme. En diminuant vos attentes et en adaptant votre approche vous contribuerez au bien-être et à la santé de votre travailleur et favoriserez son maintien au travail à long terme tout en contribuant au développement de ses capacités manquantes.
  • Démontrez-lui votre support et encouragez-le. Par de simples petits gestes qui démontrent votre considération pour lui, votre employé se sentira épaulé et cela contribuera à réduire son stress et à favoriser son bien-être au travail.

À vous de faciliter la réussite de cette délicate étape!

Article rédigé par Anick Dresdell, Psychologue chez ISO-Santé.

Référence : Centre d’action en prévention et réadaptation de l’incapacité au travail (CAPRIT)

Contactez ISO-Santé pour tous vos besoins en prévention et réadaptation en santé physique et mentale. Nos services sont offerts en clinique, par télé-consultation ou directement sur les lieux de travail.

Gestion du stress : entreprise / milieu de travail

Stratégies en gestion du stress: gérer le stress à la source

Terme inventé en 1934 par un chercheur montréalais du nom d’Hans Seyle, le stress consiste en une réponse normale du corps suite à une menace perçue. Lorsque le corps perçoit une menace, celui-ci sécrète deux hormones de stress via les glandes surrénales : l’adrénaline et le cortisol. De son côté, l’adrénaline augmente la fréquence cardiaque et la tension artérielle pour préparer le corps à combattre ou fuir la menace. Quant au cortisol, il ordonne au foie de libérer du sucre dans le sang sous forme de glucose, celui-ci étant facilement utilisé par nos muscles. Le cortisol va également se loger à deux endroits spécifiques dans notre cerveau : le cortex préfrontal (émotions) et l’hippocampe (mémoire). À court terme, la réaction de stress n’est pas néfaste pour le corps, mais lorsque celle-ci devient chronique, plusieurs problèmes de santé physique et mentale peuvent survenir : diabète de type 2, obésité abdominale, anxiété, dépression, burnout, etc. Même si la réaction de stress nous permet de faire face aux menaces de notre entourage, la plupart des « stresseurs » auxquels nous faisons face de nos jours ne mettent pas notre vie en danger. Une dispute avec notre patron, une critique de la part d’un collègue et l’insécurité financière de l’entreprise pour laquelle je travaille sont toutes des situations pouvant générer une réaction de stress.

Sachez qu’il est possible d’agir en prévention du stress en adoptant des stratégies efficaces. Voici deux types d’intervention en gestion du stress :

  1. Interventions primaires: gérer son stress à la source grâce au C.I.N.É

Tout d’abord, identifiez une situation de stress et décortiquez la situation grâce à la recette universelle du stress. Plus votre situation comporte d’éléments de la recette, plus elle risque d’être « stressante ».

Contrôle : la situation engendre-t-elle une perte de contrôle ?

Imprévisibilité : la situation est-elle imprévisible ?

Nouveauté : la situation est-elle nouvelle ?

Égo menacé : la situation affecte-elle mon estime ?

Le simple fait d’engendrer une réflexion à l’aide du C.I.N.É permettrait de réduire grandement l’intensité de la réaction de stress.

  1. Interventions secondaires : gérer son stress à l’aide d’outils pratiques

Les interventions secondaires peuvent agir comme compléments à l’exercice du C.I.N.É. :

  • La pleine conscience : prendre un moment de détente pour porter son attention au moment présent quelques minutes par jour préviendrait la dépression et l’anxiété. La méditation, le yoga et le tai-chi sont des exercices formels de pratique de la pleine conscience.
  • L’exercice physique : Les exercices soutenus permettent au corps de dépenser l’énergie libérée sous forme de sucre lors de la réponse de stress et ainsi d’éviter ses effets néfastes sur le corps.
  • Rire : Le rire permet d’arrêter la réponse de stress et de sécréter de l’endorphine qui agit comme anti-douleur.

Enfin, il est important de savoir qu’il n’existe pas de solutions miracles pour gérer le stress, toutefois la première étape est de comprendre et de décortiquer celui-ci pour trouver des solutions. La pleine conscience, l’exercice physique et le rire peuvent agir comme compléments à la première stratégie.

Votre équipe de travail vit beaucoup de stress ? N’hésitez pas à faire appel à nos services:

  • Conférence / formation / Atelier (pour employés et/ou gestionnaires)
  • Programme RÉSILIENCE en milieu de travail
  • Consultation en clinique

Pour un service en entreprise ou des consultations en clinique, contactez-nous!

Référence

Article rédigé par Alex Bourque / kinésiologue, M. Sc. spécialisé en gestion du stress en milieu de travail chez ISO-Santé

Fatigue, tristesse, perte de motivation? Et si vous souffriez de dépression saisonnière?

Fatigue, tristesse, perte de motivation? Et si vous souffriez de dépression saisonnière?

Les mois d’octobre et de novembre peuvent parfois être difficiles. À l’automne, les journées sont plus courtes et il y a moins de luminosité. Durant cette période, l’apparition du trouble affectif saisonnier, aussi appelé dépression saisonnière, est très fréquente.

Qu’est-ce que le trouble affectif saisonnier ?

C’est un trouble dépressif caractérisé par un caractère saisonnier récurrent. Pour avoir le diagnostic, le trouble affectif saisonnier doit être présent pendant au moins deux années consécutives. Le trouble apparaît lors d’une période particulière de l’année (plus souvent en automne) et disparaît plus souvent au printemps. En moyenne, les symptômes perdurent de 4 à 5 mois.

Plus précisément, on peut retrouver certains des symptômes suivants :
• Humeur dépressive
• Diminution de l’intérêt ou du plaisir
• Perte ou gain de poids
• Insomnie ou hypersomnie
• Agitation ou ralentissement psychomoteur
• Fatigue ou perte d’énergie
• Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité
• Difficulté à se concentrer, à penser ou à prendre des décisions

Causes
La cause du développement du trouble affectif saisonnier n’est pas élucidée, mais l’interaction entre plusieurs aspects, tels que la vulnérabilité génétique (problèmes des neurotransmetteurs et des récepteurs, troubles médicaux, changements hormonaux) et la quantité de lumière disponible en hiver pourraient avoir un impact. La diminution du niveau d’ensoleillement peut mener à un dérèglement de l’horloge interne (le cycle circadien) et engendrer des symptômes dépressifs chez l’individu.

Impacts sur la personne
Habituellement, on constate une altération de la qualité de vie de la personne. Cette dernière a tendance à s’isoler davantage, à vivre des difficultés familiales, conjugales, professionnelles, et/ou scolaires.

Ce qui peut aider à diminuer les symptômes dépressifs
Plusieurs traitements peuvent aider lorsqu’on souffre du trouble affectif saisonnier.

1. Une première façon de s’aider, c’est d’aller chercher du soutien auprès de notre entourage. Cela peut vous permettre de parler de ce que vous vivez et de vous sentir moins seul dans votre expérience.

2. Les activités sociales et physiques peuvent prévenir le désespoir et diminuer l’humeur dépressive. Le plaisir que l’on ressent à pratiquer une activité que l’on aime est incompatible avec la tristesse. Pratiquer régulièrement une activité physique diminue la sécrétion du cortisol (hormone du stress) et augmente la sécrétion de la sérotonine (hormone du bien-être). Donc, permettez-vous de faire une activité physique et une activité sociale que vous aimez, que ce soit la marche rapide, l’escalade, le yoga, la piscine, aller prendre un café ou souper avec un ami, etc.

3. La méditation pleine conscience. C’est un état de conscience qui consiste à porter son attention au moment présent et sans jugement. Cette pratique permettrait notamment, de soigner la dépression, de diminuer le stress et l’anxiété, d’améliorer le fonctionnement cognitif, de diminuer les risques d’épuisement professionnel, etc.

4. Adopter une bonne alimentation. Faites-vous un bon souper équilibré. En plus d’être bon pour le corps, le fait de bien manger fait du bien à l’esprit.

5. La luminothérapie. Exposition quotidienne d’environ 30 minutes le matin à une lumière artificielle vive prodiguée par une lampe de luminothérapie. Cela permet de compenser pour le manque de lumière durant l’hiver, ce qui procure un effet antidépresseur.

6. Consulter un psychologue. Le fait d’entamer une psychothérapie peut vous aider à mieux comprendre vos difficultés et d’où viennent vos symptômes et d’apporter un changement à votre condition afin d’éprouver un soulagement émotionnel.

7. La pharmacothérapie. Consultez votre médecin afin de discuter de la possibilité de prendre des antidépresseurs.

Pour avoir plus d’informations sur les services offerts en santé psychologique chez ISO-Santé, visitez le http://www.isosante.com/psychologue/

Kathleen Gagnon, candidate à la profession de psychologue, Iso-santé

Stratégies contre la dépression saisonnière

Stratégies contre la dépression saisonnière

La dépression saisonnière peut être définie comme étant un trouble de santé mentale saisonnier, c’est-à-dire qui survient à un moment précis durant l’année (souvent en automne ou en hiver). Il s’agit d’une problématique multifactorielle caractérisée par différents symptômes, dont un état de fatigue chronique, de la tristesse et de l’irritabilité, une augmentation de l’anxiété, ainsi qu’une perte d’intérêt ou de motivation.

Un psychologue de l’équipe de ISO-Santé vous révèle quelques stratégies qui peuvent aider à prévenir les symptômes reliés à la dépression saisonnière en modifiant certains aspects de vos pensées ou de vos comportements.

Ouvrir le journal de novembre 2017

Chacun son stress

Chacun son stress!

Dans le langage commun, le stress a une connotation négative. Dans les faits, le stress est une réaction d’adaptation de l’organisme face à une demande qui lui est faite. L’achat d’une première maison, tomber enceinte, perdre son emploi, ce sont tous des événements qui bouleversent nos repères et nous demandent de s’adapter. Mais avant tout, distinguons Stress, qui est la réaction, les effets sur l’organisme et Stresseur, qui est la source de stress, l’événement, la situation, etc.

Découvrez en plus sur le stress et quelques pistes et conseils intéressants grâce à cette chronique d’une psychologue chez ISO-Santé!

Ouvrir le journal de SEPTEMBRE 2017

Gestion du temps : trucs de psychologue

Gérer son temps : S’organiser pour ne pas se faire organiser !

Gérer son temps de façon efficace peut être payant en efficacité et en satisfaction. Ces quelques pistes pourraient vous aider à cibler comment vous pourriez gagner du temps :

• Développer une vue d’ensemble de tout ce que vous avez à faire, dans une semaine ou un mois.

• Subdiviser les grosses responsabilités en portions plus digestes. Par exemple «remplacer les ordinateurs» devient «définir les besoins informatiques», «faire une recherche sur les équipements disponibles» et «contacter 3 fournisseurs».

• Planifier son horaire en tenant compte des variations de son niveau d’énergie dans une journée. Si on réfléchit mieux le matin, on y met les tâches qui demandent de la réflexion. On considère aussi le rythme du lieu de travail : si les clients appellent surtout le lundi, on réserve cette journée pour traiter leurs demandes.

– On s’organise aussi autour des activités déjà prévues, comme les réunions.
– On se donne toujours un moment, en fin de journée et à la fin de la semaine, pour évaluer et planifier la suite.

• Cibler les priorités. Souvent, nos priorités se perdent parmi les petites urgences du jour; alors, comment garder le cap à travers les feux à éteindre ?

– Comme les urgences ne se programment pas, c’est préférable de prévoir un peu plus de temps pour ses priorités.
– L’autre solution, c’est de réduire nos tâches lorsque possible (ex. : lorsqu’un stagiaire peut nous aider).
– Si pendant une journée on ne sait plus où donner de la tête, on se demande: «Si je devais compléter une seule chose aujourd’hui, qu’est-ce que ce serait?»

• Réduire les interruptions : anecdotes, discussions de cadre de porte, téléphones qui s’éternisent ou courriels pour rire; ces pauses sont parfois salutaires mais, pour faciliter la concentration, on ferme la porte et on cesse de répondre aux courriels ou au téléphone.

• Reprendre le dessus sur les courriels et autre médias. Pour éviter d’y passer trop de temps, on prévoit des moments dans la journée pour consulter ses messages.

• Optimiser le système de classement. L’idée est de manipuler chaque information une seule fois pour : la traiter, la classer ou la jeter. On cherche une manière efficace de ranger et de retrouver ses documents.

• S’assurer d’utiliser un ordre du jour lors des réunions. Pour gagner en efficacité, on doit l’avoir reçu avant pour que chaque participant soit préparé. On aborde des questions qui concernent la plupart des gens présents en débutant par les points les plus importants. Avoir quelqu’un qui anime s’avère aussi utile.

• Prendre efficacement ses décisions. Si on a tendance à tergiverser, on se fixe une date limite pour se prononcer.

• Prendre des pauses. Paradoxalement, pour maintenir une productivité élevée, on doit quitter notre poste de travail de temps en temps. Quand la concentration faiblit ou que notre niveau de stress augmente, on se lève, on fait quelques pas, on s’étire ou on va boire un verre d’eau. Parfois ces quelques minutes deviennent un investissement rentable pour la suite.

• On cesse de procrastiner ! S’il y a des mois que nous voulons classer nos dossiers ou raccourcir nos réunions, on se lance !

Références

https://www.usherbrooke.ca/ca-va/pour-bien-reussir-ma-session/gerer-son-temps-et-ses-priorites

Ces gens qui courent tout le temps. S’organiser pour être moins stressé, par Rita Emmett, Les Éditions de l’Homme, 2009, 200 p.

Adapté d’une chronique de Anick Dresdell, psychologue chez ISO-Santé

Conciliation travail – vie personnelle

Conciliation travail – vie personnelle : une réflexion pour sa santé mentale

Est-ce que l’on peut être à la fois un employé performant, un parent présent et organisé, un ami disponible, faire du sport, bien manger, etc. sans ressentir de la pression face à nos multiples objectifs ? Peut-on occuper nos différents rôles avec satisfaction ?

Pas toujours!

Voici quelques conseils qui pourront vous donner des pistes de solution !

Cet article provenant d’une chronique d’une psychologue de l’équipe de ISO-Santé vous permettra d’en apprendre davantage à ce sujet.

Ouvrir le journal de mai 2017

Quand le stress devient problématique

QUAND LE STRESS DEVIENT PROBLÉMATIQUE

Le stress, au sens physiologique, est essentiel à la survie. Une vie sans stress est impossible. En milieu de travail, ce stress permet de performer adéquatement… s’il est bien contrôlé !

Tous les organes fonctionnent sous l’influence des hormones reliées au stress. Il faut comprendre que lorsque l’on parle de stress, on ne parle pas simplement de charges de travail augmentées ou d’obligations familiales, mais bien de tous les événements quotidiens qui mettent notre système en état d’activité.

Mais à quel moment le stress devient-il problématique? Quand consulter?

Consultez l’article ci-joint à ce sujet.

Ouvrir le journal d’octobre 2016

Conciliation en milieu de travail : psychologie organisationnelle

Depuis les ajustements de 2004 au niveau de la loi sur les normes du travail du Québec pour contrer le harcèlement psychologique en milieu de travail, les entreprises et organisations ont-elles amélioré la prévention et la gestion des situations conflictuelles? Ces situations peuvent contribuer à l’accroissement du taux d’absentéisme, à la présence de climats malsain et à des problèmes de santé mentale des employés.

Dans des situations de conflit on a souvent tendance à croire que le temps va arranger les choses. Toutefois ce n’est pratiquement jamais le cas, au contraire les conflits interpersonnels deviennent des conflits d’équipes, de groupes …

La conciliation, c’est agir avant la formation de clans et la détérioration du climat de travail. Cette approche de résolution par la collaboration est un excellent moyen pour résoudre les conflits interpersonnels ainsi que pour traiter les plaintes de harcèlement psychologique.

CONCILIATION EN MILIEU DE TRAVAIL

Dans le contexte de la conciliation, le psychologue intervient pour créer et établir les bases d’une collaboration nécessaire. Souvent dans le processus d’enquête et les approches administratives l’objectif ultime est de faire cesser les conduites offensantes et de les sanctionner. Dans le processus de conciliation, l’objectif est de résoudre le différend tout en améliorant la relation de collaboration par la recherche de solutions constructives. Le psychologue organisationnel va donc agir comme facilitateur pour désamorcer et résoudre les conflits au travail. Cette démarche a pour effet de ramener la collaboration et de réduire les coûts d’absentéisme et de détresse psychologique liés à des climats malsains.

La conciliation coûte moins cher !

Parmi les différences entre l’enquête et le processus de conciliation, l’enquête crée un climat d’accusation, d’impuissance, des mauvaises relations subies, le sentiment d’avoir peu de contrôle sur le dénouement ce qui amène une démobilisation plus grande. De plus, les enquêtes suite à des plaintes pour, valider par exemple, s’il y a harcèlement ou non, vont coûter très cher et souvent, le conflit reste non traité : La relation et le climat de travail reste inchangé. Choisir un processus de résolution d’une problématique par la conciliation, c’est traiter efficacement les conflits à des coûts bien plus acceptables pour les organisations.

Un mandat typique implique 10 à 15 heures de travail en moyenne sur 4 à 6 semaines.

Pour informations:
1-888-572-1190
isosante@isosante.com

ACTIVITÉ PHYSIQUE: IMPACT SUR LA SANTÉ PSYCHOLOGIQUE

Activité physique: un allié contre la dépression et l’anxiété!

Au Québec, un québécois sur cinq sera touché de près ou de loin par la maladie mentale au cours de sa vie. De même, il semblerait que d’ici 2020, la dépression se classera au deuxième rang des principales causes d’invalidité à l’échelle mondiale, juste derrière les maladies cardiaques.

On prétend souvent que la pratique d’activité physique améliore le bien-être psychologique, augmente la perception de son efficacité personnelle et atténue les symptômes de l’anxiété et de la dépression. Mais qu’en est-il vraiment? Le fait de pratiquer régulièrement une activité physique peut-il réellement agir sur le cerveau et apporter des bienfaits sur la santé mentale?

Découvrez également un exemple de cas concret de réadaptation en santé psychologique.

Ouvrir le journal d’avril 2016